VILLE DE VIENNE LA BELLE

Jerem et elle etait parti du moulin, pour aller se promener et profiter du soleil, elle etait heureuse de pouvoir enfin sortir et de se degourdir les jambes, le soleil se refletait sur son visage fatiguer et encore pale, le vent jouait avec ses cheveux qu'elle avait laisser libre. Elle regarda son amour tendrement, la ville etait calme et silencieuse, on etait en plein ete et les gens s'etaient retrancher en bord de mer pour se rafraichir. Seul ceux qui etait dans l'armee ou la police etait rester quoique certain etait parti en vacance malgres tout. L'etat de siege etait declarer, et les voyageur et autre avait du mal a comprendre les courriers envoyer, elle etait fatiguer et ce travail l'avais ereinter ainsi que les discutions steriles. Elle fut sortir de ses pensees par son amour qui lui dit.

Mon ange il y a une bijouterie, j'ai envie de te faire plaisir, vient avec moi

Elle n'eut pas le temps de repondre que son amour l'attira dans la bijouterie, elle sourit et fut un peu gener, elle avai pas l'habitude de recevoir autant de cadeaux, son amour ressemblait a un enfant dans un endroit rempli de jouer. Il l'entraina dans un endroit la tenant toujours pour eviter la chute et lui dit

Regarde mon ange, il est magnifique ce collier, regarde aussi ce bracelet, et puis l'espèce de truc qui se met dans les cheveux !


Coco regarde son amour et sourit, le regardans dans les yeux et prit la parole

Mon coeur je n'ai pas besoin de tout ca, mon plus beau bijoux c toi mon ange, c ton amour , ton coeur et le plus beau bijoux, tu ne peux pas me faire de plus beau cadeau, et puis il y a aussi cette bague magnifique symbole de notre amour et ce pendentif.

Coco lui sourit et deposa un baiser tres tendre sur ses levres et frissonna, puis il lui dit

Choisit ce qu'il te plait mon ange.

A tu ecouter ce que je t'ai dit mon amour ?

Mon coeur je n'ai pas besoin de tout ca, mon plus beau bijoux c toi mon ange, c ton amour , ton coeur et le plus beau bijoux, tu ne peux pas me faire de plus beau cadeau, et puis il y a aussi cette bague magnifique symbole de notre amour et ce pendentif.

Son amour l'embrassa et il prolongea le baiser. La regardant il répondit.

C'est magnifique ce que tu dis, ton amour est le plus beau des bijoux qui puisse exister sur cette terre, mais j'aimerais te faire encore plus plaisir.

A tu ecouter ce que je t'ai dit mon amour ?

Ronchonnant un peu il répondit.

Oui j'ai compris mon ange, où veux-tu aller? Nous avons toute la ville à notre disposition. Dit-il en souriant.

L'homme jeta un dernier oeil sur l'ensembe des bijoux et repéra quelque chose d'intéressant, il se dit qu'il reviendrait un autre jour en espérant que ce qu'il avait vu serait encore disponible.

C'est magnifique ce que tu dis, ton amour est le plus beau des bijoux qui puisse exister sur cette terre, mais j'aimerais te faire encore plus plaisir.

Coco sourit a son ange emue par ses mots, puis elle se mit a rire quand son amour ronchonna, elle l'aimais et ses petits defaults lui donnait un charme fou, quand il ralait ou ronchonnais, elle avait qu'une envie c'etait de lui sauter dessus et de lui faire l'amour sauvagement. Mais la ca n'etai pas possible dans la bijouterie ca aurai marquer mal puis il lui repondit.

Oui j'ai compris mon ange, où veux-tu aller? Nous avons toute la ville à notre disposition.

Ou tu veux du moment que je suis avec toi et que tu ne me laisse pas sur le bord du chemin, pour m'abandonner ^^

Elle le vit jetter un dernier coup d'oeil sur la devanture et se doutait qu'il lui reservait un cadeau. Elle ne dit rien sachant que ca servrai a rien, elle sorti au bras de son amour et continuerent a se promener dans le village en direction du marché. Coco toujours au bras de son amour sentait la fatigue mais tenait le plus possible quand ses jambes lacherent elle s'aggrippa a lui pour eviter de s'effondrer

Promis, je te garde près de moi le plus longtemps que je pourrais, je ne tiens pas à t'abandonner mais à t'aimer jusqu'à mon dernier souffle.

Coco sourit a ses paroles, elle aussi l'aimait et ce pour tres tres longtemps, il la rendait heureuse, ses jambes lacherent et il la retint du mieux qu'il put, pour eviter qu'elle tombe et se fasse mal essayant de la relever, il la regarda et il lui demanda inquiet

Mon ange? Ca va?!

Elle voulu repondre mais manquait de souffle, elle fut soulever sans trop de difficulter par son amour, et la bloqua contre lui, elle reussi a passer ses bras autour de son cou et l'entendait hurler sur le passage au gens qui se trouvait en plein milieu, elle ouvrit les yeux et vit qu'ils traversaient les ruelles de la ville assez vite et que les gens s'ecarter sans chercher a savoir devant l'ordre imposant et autoritaire de son amour. Puis elle sentit la cadence ralentir, et se retrouva allonger dans l'herbe a l'abri d'un arbre, puis il se mit a ses coter, elle l'entendait respirer bruyament, la course plus son poids l'avais fatiguer, puis il pris de nouveau la parole

Mon ange, nous aurions dut rentrer plus tôt.

Elle le regarda pendant que celui ci lui massait les jambes et elle lui repondit

Je suis desole mon coeur j'aurai pas du trop forcer mais j'avais vraiment envie de bouger et de marcher je devenais folle a la maison a rester allonger

Ne t'inquiètes pas, le principal c'est que tu as pu te dégourdir les jambes, on va rester ici le temps qu'il faudra.

Merci oui mon coeur, tu et adorable, c gentil de prendre autant soin de moi, tu et si adorable tu me fais craquer mon amour, c un de tes nombreux charmes.

Coco lui sourit tendrement, fermant les yeux et savourant les massage de son amour, puis il se mit a coter d'elle et posa sa tete sur lui serrant la main qu'il venait de lui prendre

Quand tu seras prête pour partir tu me le dis même si j'aime bien et endroit, c'est paisible.

Oui mon coeur pas de soucis tu et un amour

Coco le regarda et l'admira, il etait si beau, ses muscles se dessinaient a travers se chemise tremper de sueur, elle frissonna rien qu'en regardant son torse a travers la chemise. L'ost l'avais rendu fort et puissant et malgres son coeur tendre, il etait redoutable et ses enemies devaient le craindre. Elle l'aimait tellement, elle aimait sa jalousie, ca lui prouvais son amour pour elle, et elle aimait qu'il prenne sa defense contre les autres meme si elle ne lui disait pas ni lui montrait, elle aimait qu'il la protege. Elle se sentait bien et en securiter avec lui. Il lui caressait tendrement le poignet, puis il se mit contre elle sentant une douce brise souffler elle lui caressa le dos tendrement et savoura ce moment de detente et de plaisir

Coco frissonna quand son amour lui deposa plein de baiser dans le cou, elle l'aimait, elle l'adorait, tout son etre reclamait cet homme, sa presence lui etait devenait une drogue elle ne pouvait plus vivre sans lui, et loin de lui.

Je t'aime tant.

Moi aussi mon ange je t'aime, tu et mon souffle de vie

Il reprit ses baiser remontant a ses levres, elle le sentit entrouvrir les levres et laisser passer la langue, elle joua avec le titillant lui mordillant. Elle esquissa un sourire amusee, elle l'aimait et aimait le taquiner a le faire raler voir meme ronchonner, elle adorait son grognon, c'etait un autre de ses charmes. Il se redressa pour la regarder et elle lui dit

Si tu veux mon ange on peut rentrer je pense etre capable de tenir debout

Elle lui sourit tendrement, il se releva et l'aida a se relever, elle lui prit la main tendu et se releva avec difficulter, elle s'appuya contre l'arbre afin de reprendre son souffle, elle le regarda avec amour, il lui tendit le bras et elle le prit en essayant de s'y appuyer le moins possible. Ils prirent le chemin du moulin lentement, et heureuse d'etre avec lui, il etait sa famille lui et les enfants

L'homme ronchonna légèrement lorsqu'elle lui titilla la langue et lui mordilla, mais il adorait cela, sa façon de faire, il aimait ses airs coquins et ne pouvait plus s'en passé.

Si tu veux mon ange on peut rentrer je pense etre capable de tenir debout

On peut rentrer mon ange, je vais t'aider à te relevés.

Se levant il tendit sa main en direction de son amour et l'aida à se relevé, elle s'appuya ensuite contre l'arbre et il la regarda, lui tendant son bras son amour l'attrapa et s'appuya le moins possible dessus, il garda tout de même une certain raideur au niveau du bras afin de la soutenir un maximum et ne pas la faire peiner.
Les deux amoureux prirent la route du moulin, il était heureux comme jamais il avait été avant.
Une fois au moulin il ouvrit la porte et vit les jumeaux courir en leur direction, Killian s'accrocha à lui et Marion à sa mère, Mathilde appela les jumeaux et l'homme aida son amour à défaire son surplus d'habits et l'installa sur le fauteuil.

Mathilde s'approcha d'eux et prit la parole.

Comment s'est passé cette balade?

Fort bien malgré quelques petits ennuis, tu sais ce que c'est les gens, ils resteront plantés devant toi jusqu'à ce que tu leurs dise de se poussé.

S'installant auprès de son amour il regarda les enfants jouer.

ils rentrerent tranquillement, arriver au moulin, il lui ouvrit la porte, entendit les jumeaux debouler comme des fou leur sautant dessus, elle se retrouva presque parterre avec marion sur elle et jerem etait attaquer par killian, mathilde les appella. Jerem l'aida a enlever son chale, puis la guida jusqu'au fauteuil ou il l'aida a s'installer, elle ferma les yeux se detendant et allongea ses jambes legeremen douloureuse et lourd. Mathilde pris la parole et n'eu pas le temps de repondre que jerem le fit avant elle

Comment s'est passé cette balade?

Fort bien malgré quelques petits ennuis, tu sais ce que c'est les gens, ils resteront plantés devant toi jusqu'à ce que tu leurs dise de se poussé.

coco les laissa parler et posa sa tete sur le dossier du fauteuil epuiser.

Son amour passa un bras autour d'elle, elle laissa sa tete rouler sur son epaules, savourant les caresses sur son ventre quand il pris la parole

Repose toi mon coeur


Elle referma les yeux entendant les enfants courrirent, elle sourit legerement, malgres leurs bazard elle aimait les entendre courrire de partout, leur disputes, ca mettai un peu de vie dans la maison, et elle aimait ca, ca lui evitait de penser a des choses tristes, comme la mort de son frere, la perte de ses amis. Elle sursauta quand son amour cria apres killian, elle ouvrit les yeux et regarda ce qui se passait. Killian avait voler la poupee de sa soeur, et celle ci lui courrait derriere en pleure essayant de recuperer sa poupee.
Jerem se tenait debout avec sa stature imposante et cria

KILLIAN ! DONNE LA POUPEE A TA SOEUR ET DÉPÊCHE TOI !

Elle fixa son fils qui croyai que jerem s'amusait, puis son visage changea bien vite quand il compris que c'etait pas la cas, il ne dit pas un mot et rendit la poupee a sa soeur. Puis elle vit jerem examiner la petite voir si elle n'etait pas blesser puis il la pris dans les bras et lui fit un bisous en lui disant

Tu n'as rien ma grande, allez sèche moi ces vilaines larmes et retourne t'amuser.


Coco sourit devant la scene attendrit puis elle regarda son amour et lui dit

Tu peux m'aider a aller dans la chambre s'il te plais mon coeur

Ce matin un cavalier venant de Valence au surnom Sanguinaire entrait dans la ville Viennoise portant armure, armes offensives et défensives, sur la selle de sa monture on pouvait y voir de lourdes sacoches contenant écus, vivres, ainsi que son écu et sa hache. Il partait pour la croisade et allait combattre aux côtés des croisés et non aux côtés de l'armée du Lyonnais et Dauphiné.

Lorsqu'il passait dans les rues Viennoises il sentait un pincement au coeur, tant de choses vécues ici...Une époque révolue tandis qu'elle avait laissée place à une autre...L'homme se dirigeait vers une taverne mais cette dernière était fermée.

Me reste plus qu'à me trouver une paillasse dans un coin tranquille... Pensait-il.

Une fois un peu de repos prit Jerem sortait de la ville et se dirigeait vers le moulin où habitait Coco, il ne semblait pas y avoir d'activité, il perdait son regard sur le moulin et caressait l'encolure d'Elros.

En route mon beau, mène moi au combat comme l'a fait Azygos, ton père, et ramène moi mort ou vif...

Dehuit donnait un coup de talon à chaque flancs de son destrier et partit tranquillement en direction de Lyon...

Coco occuper dans le jardin, entendut des bruits de sabot et un henissement, elle leva la tete et chercha d'ou venait le bruit. Un bruit qu'elle aurai reconnue entre mille, c'etait la monture de jerem. Elle chercha du regard d'ou pouvait provenir le henissement mais ne vit rien. Elle soupira pensant qu'elle avait du rever, elle ne devait plus s'attendre a le revoir, il l'avais quitter et elle savait qu'il devait aller se battre. Elle se remit au travaille soupirant tristement. Au bout de quelques heures de travaille et epuisee, elle rangea les outils et rejoignit les enfants qui etaient bien au chaud dans le moulin. Elle s'installa dans un fauteuil epuiser et se tenant le ventre, elle attendait un enfant, l'enfant de celui avec qui elle etait maintenant, celui qui depuis tres longtemps avait ete dans son coeur, ne le disant a personne sauf Jerem....

Elle regarda par la fenetre et vit un pigeon se poser, elle se leva et ouvrir la fenetre afin de faire rentrer me volatille et pris le message que celui ci lui apportait. C'etait un message de la prevoter lui demandant de se rendre au plus tot afin d'y assurer les gardes, plus personne ne defendait la ville. Elle repondit au message disant qu'elle preparait ses affaires et qu'elle irai sans tarder. Elle prepara ses bagages pour le lendemain, et alla a la recherche de son amour qui devait se trouver dans sa taverne

[A 1 jour de marche de Genève]

L'homme avait voyagé depuis plusieurs jours déjà, il était à Saint Claude, non loin de Genève, il se demandait ce qu'il allait voir lorsqu'il allait être sur place...
Sa monture semblait s'agiter, des voyageurs, des paysans, des personnes de tout âge revenaient de Genève, tous avait la mine sombre...L'homme regardait autour de lui et vit un endroit reculé afin de se reposer.
Mais avant toute chose il prit une plume et un parchemin et écrivit...

Citation :

Chère Coco,

Comme promis je t'envoie une missive pour te dires que le voyage se passe bien, je suis à un jour de marche de Genève, l'heure sera venue pour moi de savoir si je suis entre les mains d'Aristote ou non...
Une pensée vole vers toi et les enfants, ainsi qu'à Paeins.

Je ne dirais pas plus de mots, en espérant vous revoir un jour...

Bien à toi,
Le Sanguinaire, dict Jeremdehuit.

Dehuit attachait le velin à la patte de son pigeon et l'envoyait à Vienne...Ensuite l'homme se reposait dans une paillasse chaude avant de reprendre la route...

Jerem et son fils rentraient de Castres où ils devaient bâtir une nouvelle vie avec Mylene, la femme qu'il avait aimé et aimer toujours...Là ils retournaient en Lyonnais et Dauphiné sans elle, il ne restait plus qu'un bocal remplit de cendres de son être... Elle avait rendue l'âme à cause d'un simple poison et laisser derrière elle un fils sans mère et un homme sans femme...
Durant ce voyage il essayait de ne pas craquer devant son jeune fils, ce n'était pas bon pour lui de voir son père pleurer, il avait compris que sa mère allait dormir pour toujours et que l'on ne la reverrait plus, mais il ne le réalisait pas...ou du moins pas encore...
Lorsqu'ils arrivèrent à Valence Jerem laissait Argawaen jouait dehors tandis qu'il rangeait les affaires et rangeait précieusement les cendres de son aimée... Durant cet instant de solitude des larmes roulèrent sur ses joues, il fallait que ça lui arrive, pourquoi lui? Une question qu'il se posait sans cesse...

Le Vétéran deux jours plus tard avait confié son fils à une gouvernante afin de prendre la route vers Briançon, il avait fait la promesse à sa douce de jeter ses cendres dans ses montagnes...Une fois arrivait sur place il se dirigea au bois des coqueberts, l'endroit où elle se rendait souvent et mit genou à terre ouvrant le bocal...L'homme perdit son regard dans l'horizon et dit quelques mots...

Mon amour...J'espère que de là où tu es tu ne souffres plus et que tu pourras reposer en paix, tu verrais comme notre fils a grandit, il est devenu un homme maintenant, comme j'aimerais que tu puisses le voir aujourd'hui...Tu lui manques et tu me manques, comme tu me l'avais demandé je vais disperser tes cendres dans tes montagnes laissant le vent emporter le peu de toi qu'il me reste...Tu resteras toujours dans mon coeur ma bien aimée...Je t'aime...

Jerem déversait les cendres dans la nature s'écroulant en larmes, il était seul avec son fils et bientôt son fils allait être seul...Une maladie le rongeait et il était trop tard pour faire marche arrière... Il se releva, regard brouillé par les larmes et partit rejoindre la ville de Valence complètement bouleversé...

[Quelques jours plus tard]

Le jour du départ était arrivé, lui et son fils allait prendre la route pour le Maine afin de rejoindre son filleul. Une nouvelle vie s'offrait à lui, et à Argawaen, son fils.
Une fois tous les préparatifs terminés il regarda le petit homme qui grandissait de jours en jours.

Tu es prêt mon grand? Je suis fier que tu prennes la route avec moi.

L'homme regardait son fils faire un large sourire lors de ces derniers mots, il n'y avait pas de doutes, il était prêt...

Oui père, je suis prêt, toutes mes affaires sont prises, nous pouvons y aller

Dehuit acquiesça et partit accrocher sa monture Elros à la charrette, lorsque cela fut fait il appela Argawaen afin qu'il prenne place à ses côtés. Dehuit regarda son fils et prit la parole.

Une nouvelle vie s'offre à nous mon fils, allez en avant !

Dehuit fit partir sa monture sur les routes ne regardant pas derrière lui, il laissait sa demeure, il ne la mettait pas en vente, elle pouvait servir à accueillir des personnes dans le besoin, qui sait, sa maison servira peut être encore...
Les deux hommes continuaient leur route, et pourtant Jerem avait comme un pressentiment, la maladie l'affaiblissait de plus en plus, mais il ne devait pas le montrer, pas pour son fils...Lui qui a toujours était dur il ne supportait pas de se voir sombrer un peu plus chaque jours, surtout depuis la disparition de Mylene...

La route se passait plutôt bien jusqu'à Vienne, ils firent une petite halte de quelques heures avant de repartir, il en profita pour montrer les endroits paisibles de la ville à Argawaen, cet enfant était déjà un guerrier dans sa tête mais aimait être seul afin de pouvoir écrire, lire, s'entraîner aux armes. Dehuit pouvait rester des heures à le regarder, car depuis la mort de sa compagne Mylène il était la seule famille qui lui restait...La seule question était..."Pour combien de temps?"

Le soir venu le père et le fils reprirent la route afin de se rendre à Lyon et de quitter le duché du Lyonnais et Dauphiné, soudainement il sentit une vive douleur à l'intérieur de son être, il essayait de cacher sa souffrance à son fils mais il en fut autrement...
L'homme s'écroula sur le sol immobile tandis que son fils se mettait à paniquer...

PERE ! PERE ! QUE SE PASSE-T-IL?

L'enfant s'approcha en courant vers lui, il était en larmes et ne savait plus où donnait de la tête. Jerem posa sa main sur l'épaule de son fils dans un effort qu'il trouvait surhumain et lui disait de se calmer...

Argawaen, calme toi...tout va bien se passer...Prend sur toi...Va chercher de l'aide et prend le temps d'expliquer la situation.......Je suis....robuste....allez va...mon fils...

L'enfant se leva se préparant à partir, Jerem l'attrapa par la chemise...

Quoiqu'il...arrivera....continue....la route...vers....le Maine...et...rencontre....mon...filleul......Lui seul....saura....comment.......t'aider....pour la....suite.....
Je suis....fier.....de toi.....mon grand....Et ta mère...l'aurait....surement.....été........

Argawaen fondait en larmes lors de ses paroles, l'enfant partit chercher de l'aide mais Jerem sentait ses forces diminuer...Tout devint trouble autour de lui jusqu'à ce qu'un écran noir apparaisse devant ses yeux...C'était sans doute la fin d'un homme, d'un soldat...Il aurait préféré mourir au combat plutôt que sur une route à cause d'une maladie...Mais telle avait été la volonté d'Aristote...

Coco Etait au moulin en train de travailler pendant que Paeins lui etait partit a sa forge, les enfants jouaient sagement pres d'elle. Tout a coup, elle vit arrivee le fils de Jerem en pleur, Coco lacha ce qu'elle tenait dans les mains et se precipita vers le petit.

Argawaen !! Que ce qui se passe ou et ton pere ?

Le petit etait essouffler et n'arrivais pas a dire deux mots d'affiler, mais elle reussit a comprendre que Jerem etait au plus mal

Bouge pas mon grand, j'arrive

Coco emena les enfants a la nourrice en lui expliquant qu'elle devait partir en urgence et que si Paeins rentrait entre temps de le prevenir qu'elle avait du partir. Puis elle prit l'enfant par la main et sauta sur son cheval sans prendre la peine de le seller, et fit monter le petit sur son cheval. Argawaen guida Coco ou se trouvait son pere, elle talonna le cheval pour aller au plus vite, elle savait que Jerem allait mal et esperait arriver a temps. Au bout de quelques heures elle arriva sur le lieu, elle reconnus Elros en train de brouter non loin de la et une forme etendu un peu plus loin, elle fit descendre le petit qui courru vers son pere, Coco sauta de sa monture et courru dans sa direction.

Puis elle s'agenouilla pres de lui

Jerem ? Jerem, je suis la avec ton fils, je t'en supplie meurre pas, reste la.

Coco avait les larmes aux yeux, malgres qu'elle essayai de se retenir, elle ne voulais pas qu'il meurt. Elle le secoua legerement afin de le reveiller, voyant qu'elle n'y arrivait pas, l'angoisse monta en elle. Elle souleva Jerem du mieux qu'elle pu et le hissa sur Elros, elle fit monter Argawaen avec lui puis elle sauta sur sa monture et se dirigea vers le moulin d'un pas rapide mais sans pour autant le secouer. Elle ne quittait pas Jerem du regard, et son fils pleurait a chaudes larmes appellant son pere

Au bout de plusieurs heures de marche, Coco arriva au moulin, elle descendit de sa mouture, et l'attacha , puis elle alla faire descendre le fils de Jerem, et elle fit glisser Jerem d'Elros et souffait sous le poids corpulent de celui ci. Une fois A terre, elle le traina du mieux qu'elle put a l'interieur Argawaen l'aidant du mieux qu'il pouvait. Elle reussit a faire entrer Jerem a l'interieur du moulin, mais n'eut pas la force de le mettre dans le lit.

Elle amenaga le sol du mieux qu'elle put pour qu'il soit a l'aise et le couvrit, puis parti a la cuisine allant chercher de quoi l'apaiser et le calmer. Ses mains tremblaient et le verre glissa se brisant, Se baissant pour ramasser les debris, elle se coupa la main, elle poussa un gemissement de douleur et regarda le sang couler, les yeux perdus dans le vague.

Au bout de quelques instant, elle sortit de sa reverie et finit de ramasser le verre briser, ne faisant meme pas attention a sa blessure. Coco prepara une mixture qu'elle ramena a Jerem toujours allonger semi inconscient, elle lui redressa la tete et lui fit boire a petit gorger le liquide d'une couleur etrange, et lui murmura

Jerem boit s'il te plait, il faus que tu boivent ca ca te fera du bien, et ca te calmera la douleur.

Des larmes roulerent sur ses joues et tomberent sur Le visage de celui ci, essayant de se retenir, elle aurai aimer que son amour soit pres d'elle surtout en ce moment la, elle avait peur et aurait eu grand besoin de sa presence reconfortante.